Biographes et critiques: Tom S. Wotton (1862-1939)
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Bibliographie de Tom S. Wotton
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‘Le plus éminent spécialiste de Berlioz de sa génération’: c’est en ces termes que Jacques Barzun fait l’éloge de Tom S. Wotton dans son ouvrage monumental en deux tomes sur Berlioz, paru d’abord en 1950 (Berlioz and the Romantic Century, tome II, p. 451 [p. 459 de la 3e édition de 1969]). Il dédie la version abrégée du grand ouvrage (Berlioz and his Century, 1956) ‘À la mémoire de Tom S. Wotton (1862-1939): premier spécialiste de Berlioz de son temps’. Ce vibrant éloge, certes mérité, appelle toutefois une restriction: il laisse hors de compte un éminent berliozien contemporain de Wotton, Julien Tiersot (1857-1936), dont les travaux sur Berlioz l’emportent sur ceux de Wotton, du moins par leur étendue. Barzun reconnaît ailleurs dans son ouvrage les mérites de Tiersot (II, pp. 323-4): selon lui, les Berlioziana de Tiersot et le livre de Wotton de 1935 constituent ‘le noyau essentiel des travaux techniques [sur Berlioz] qui méritent de rester disponibles en librairie’. C’est dans cet esprit que nous avons reproduit sur le site la série complète des Berlioziana de Tiersot, ainsi que d’autres articles de sa plume, et avons aussi transcrit intégralement le Hector Berlioz de Wotton (1935), y compris son Index (dont les renvois aux pages de l’édition imprimée sont munis de liens à la version en ligne).
Il convient de citer Barzun de nouveau quant à sa dette envers Wotton (II p. 451 [p. 459 de la 3e éd.]). En tête de ceux qui ont aidé à rendre possible l’ouvrage de Barzun:
Je citerai le nom du regretté Tom S. Wotton (1862-1939), le plus éminent berliozien de sa génération, dont la sagesse, les avertissements, et les encouragements m’ont soutenu au départ, et dont la grande collection de documents — qui est maintenant la mienne par sa volonté — m’a permis de poursuivre mon travail quand les archives en Europe sont devenues inaccessibles ou ont été détruites [sc. du fait de la deuxième guerre mondiale].
En évoquant ma profonde gratitude envers Tom Wotton, je ne peux éviter de penser avec regret à ce que mon livre aurait pu être s’il avait vécu pour l’améliorer par son aide.
Barzun et Wotton entretinrent une correspondance régulière de 1929 à 1938, peu avant la mort de ce dernier; leur correspondance est maintenant déposée à la libraire de l’université de Columbia aux États-Unis (Barzun II p. 391 [p. 397 de la 3e éd.]). Comme on peut le constater d’après l’index du livre de Barzun (II p. 511 [p. 515 de la 3e éd.]), les travaux de Wotton sont cités fréquemment sur de nombreuses questions, et à partir de 1930 Barzun se joint à Wotton dans le travail critique entrepris par ce dernier sur l’édition de Breitkopf et Haertel de la musique de Berlioz (voir ci-dessous).
Malgré son éminence reconnue comme spécialiste de Berlioz, le personnage de Wotton semble remarquablement peu connu. À part le peu qu’on peut déduire de ses propres travaux, les informations sur lui et sa carrière brillent par leur rareté, et la consultation des ouvrages de référence usuels et des sources ordinaires sont de peu de secours. Par exemple, le compte-rendu de son livre de 1935 signé H.G. dans le Musical Times d’octobre 1935 (tome 76, no. 1112, pp. 897-8) qualifie Wotton simplement de ‘musicien’, doué certes de connaissances étendues, mais sans lui attribuer de fonction professionnelle précise. Dans ses publications Wotton ne revèle presque rien sur lui-même, et donne l’impression d’un homme modeste et effacé qui ne cherchait pas à se faire remarquer (mais par contre il défend toujours Berlioz avec chaleur contre ses critiques et détracteurs). Dans la bibliographie de son livre de 1935, il est caractéristique que Wotton ne donne pas une liste complète de ses propres travaux sur Berlioz, et ne recense même pas quelques articles qu’il cite ailleurs au cours de son livre. Le style de Wotton est concis et sobre, et fait contraste en cela avec celui, beaucoup plus ample, de Barzun: son livre sur Berlioz ne comporte qu’un peu plus de 200 pages en petit format. Wotton possédait visiblement des connaissances musicologiques et techniques approfondies, comme on peut le constater d’après ses travaux sur Berlioz et aussi dans l’ouvrage de référence qu’il publie en 1907, A Dictionary of Foreign Musical Terms and Handbook of Orchestral Instruments [Dictionnaire de termes musicaux étrangers et Manuel d’instruments de l’orchestre]. Mais il ne ressort pas clairement de ses écrits si ces connaissances étaient directement liées à son activité professionnelle, ou s’il les avait développé et poursuivi indépendamment. On est surpris de constater qu’il ne semble pas exister de photographie ou de portrait de lui; du moins, il ne figure pas parmi les portraits des ‘Berlioziens éminents 1890-1950’ que Barzun affiche au tome II de son ouvrage (planche face à la page 326), où il mérite de prendre une place de choix.
Wotton semble avoir peu voyagé en dehors de l’Angleterre. Il assiste aux célébrations du centenaire à Grenoble en août 1903, où il fait une conférence sur Berlioz; il contribue aussi un bref article au Livre d’Or du Centenaire d’Hector Berlioz (Grenoble et Paris, 1906); on trouvera sur ce site le texte des versions anglaise et française de cet article. Dans son petit livre de 1929 (Berlioz, Four Works, p. 44), Wotton laisse entendre qu‘il a entendu Colonne diriger la Marche hongroise, sans doute à Paris: n‘importe quelle date jusqu‘à 1908 est possible. Le seul voyage à l’étranger qu’il mentionne dans son livre de 1935 est une visite à Bruxelles en 1911, où il assiste à une version mise en scène de l’Enfance du Christ (chapitre 7 pp. 167 et 168). Il ne semble pas certain qu’il ait fait des séjours prolongés à Paris pour y étudier de première main les nombreux documents concernant Berlioz qui s’y trouvent. On ne relève dans ses deux livres que peu de mentions des manuscrits autographes de Berlioz, et quand c‘est le cas il a pu se fonder sur les descriptions des manuscrits donnés par Tiersot dans ses Berlioziana. Par exemple, dans son petit livre de 1929 (pp. 45-7), il traite du manuscrit de l’ouverture du Corsaire, mais il renvoie plus loin à Tiersot et aussi à l’introduction de l’édition Breitkopf de la musique de Berlioz. Dans la Préface de son livre de 1935 (p. ix-x) il remercie Jacques Berlioz d’avoir consulté pour lui à la Bibliothèque nationale à Paris de nombreuses partitions imprimées de Berlioz qui comportait des annotations manuscrites du compositeur. Traitant de l’édition Breitkopf, il observe que Charles Malherbe, l’un des deux rédacteurs, qui habitait Paris, ‘avait facilement accès aux manuscrits originaux et aux éditions françaises’ (chapitre 8, p. 184). Wotton avait étudié soigneusement les partitions imprimées de Berlioz, mais il ne semble pas avoir connu de près la partition des Troyens (gravée par Choudens en 1885 et en 1899, mais non mise en vente au public; voir NBE tome 2c p. 775), et ne mentionne que rarement l’écriture pour orchestre des Troyens. Par exemple, quand il traite des notes graves dites ‘pédales’ du trombone ténor (chapitre 5, p. 118-19), il évoque les exemples de leur utilisation par Berlioz, mais non ceux au premier acte des Troyens (au cours du récit d’Énée ‘Du peuple et des soldats’, et vers la fin du grand ensemble ‘Châtiment effroyable’ qui y fait suite; NBE tome 2a pp. 125 et 150).
L’intérêt de Wotton pour Berlioz et sa musique s’éveille tôt dans sa vie, dans les années 1880. Il dit avoir assisté à une exécution à Londres de la Symphonie funèbre et triomphale dirigée par Hans Richter en 1885 (chapitre 7 p. 159); c’était l’époque du remarquable renouveau posthume de Berlioz à Paris, qui eut son contre-coup outre-Manche. Dans la Préface de son livre de 1935 Wotton écrit que son travail est le résultat d’une étude approfondie de Berlioz ‘pendant de très nombreuses années’, et Barzun précise (II p. 309) que quand Wotton publia son livre ‘il avait étudié Berlioz pendant un demi-siècle’, ce qui nous ramène aux années 1880. Wotton publie quelques articles sur Berlioz aux alentours de l’année du centenaire 1903 (voir la liste bibliographique ci-dessous), mais garde ensuite le silence pendant une dizaine d’années jusqu’à un article de polémique important en 1915, concernant les défauts de l’édition Breitkopf des œuvres musicales de Berlioz (voir ci-dessous). Suit un nouveau silence prolongé, et ce n’est que vers la fin des années 1920 que le rythme de ses publications sur Berlioz reprend, avec notamment le petit livre de 1929 (Berlioz, Four Works), pour aboutir finalement à la parution en 1935 de son ouvrage principal, qui représente la somme d’une vie d’études sur le compositeur. Mis à part l’ouvrage de référence qu’il publie en 1907, la majeure partie de ses travaux publiés semble avoir été consacrée à Berlioz.
Il n’y a pas lieu de donner ici un résumé du contenu de son ouvrage de 1935: le texte complet est disponible sur ce site. Wotton rend lui-même hommage à ses prédecesseurs. Dans sa Préface il cite en premier lieu l’éminent critique anglais Ernest Newman (1858-1969) ‘qui a publié sur Berlioz plus longuement et avec plus de perspicacité que n’importe quel autre critique anglais’; par la suite il renvoie souvent à Newman. Wotton cite aussi fréquemment et avec éloge les travaux de Julien Tiersot, et semble avoir été le premier à suggérer de rassembler la série des Berlioziana en un seul livre (p. 164, auquel Barzun fait écho, tome II p. 304 n. 9; le projet n’eut pas de suite). Mais on est surpris de constater qu’il passe sous silence son contemporain le chef d’orchestre Hamilton Harty, un partisan actif de Berlioz dans les années 1920 et 1930.
L’apport de Wotton aux études berlioziennes avait deux fondements: d’une part un simple bon sens dénué de tout préjugé, et d’autre part une connaissance approfondie de Berlioz et de sa musique, nourrie par des années de réflexion. C’est ce qui lui a permis de combattre avec succès bien des idées reçues, concernant tant l’homme que sa musique, qui ont longtemps poursuivi Berlioz et n’avaient souvent d’autre fondement que l’ignorance et le parti-pris. Wotton a publié en 1934 une brève esquisse biographique du compositeur, et dans les deux premiers chapitres de son livre de 1935 il a traité de l’homme Berlioz. Mais son intérêt se portait avant tout à sa musique, et c’est à elle qu’il consacre la majeure partie de son livre (chapitres 3-9). Quelques années plus tôt il avait soumis quatre des œuvres les mieux connues de Berlioz à une analyse musicale serrée.
Le lecteur pourra apprécier de lui-même les nombreux aperçus qu’on peut trouver dans son livre de 1935. La contribution sans doute la plus originale de Wotton consiste à avoir été le premier à mettre en lumière les défauts de l’édition des œuvres musicales de Berlioz publiée entre 1900 et 1907 par Breitkopf et Haertel à Leipzig, sous la direction de Charles Malherbe et Felix Weingartner (édition restée incomplète). Il fait état de ses réserves pour la première fois dans un article dans le Musical Times de 1915 qui mérite qu’on s’y attarde.
L’article débute avec une affirmation surprenante: ‘Un des résultats de la Guerre est que l’attention des musiciens a été attirée particulièrement sur le peu de confiance qu’on peut faire en général aux éditions allemandes modernes’. Il devient tout de suite évident que le ton de l’article reflète l’atmosphère surchauffée des esprits suscitée en Europe par le début de la première guerre mondiale, qui eut pour conséquence d’attiser le nationalisme latent de Wotton. Dans sa contribution au Livre d’Or du centenaire de 1903, Wotton avait affirmé d’emblée: ‘Nous autres, Anglais, sommes fiers de ce que Hector Berlioz soit un des nôtres à beaucoup de points de vue’. Il termine en concluant: ‘Hector Berlioz est donc, de tous les compositeurs, celui qui fut, pour ainsi dire, le plus Anglais, et ne serait-ce que pour ce motif, nous Anglais, nous ne devrions pas nous laisser dépasser par aucune nation dans notre admiration pour un des plus grands musiciens’. Dans l’article de 1915 on trouve les grandes lignes de la critique de Wotton de l’édition Breitkopf qu’il développera plus tard, mais cette critique est teintée d’un anti-germanisme outrancier. Dans son livre de 1935 Wotton pose en principe que le principal responsable de l’édition est Charles Malherbe et non Weingartner (pp. 182-90), mais dans l’article de 1915 les rôles sont inversés. Les rédacteurs de l’édition sont ‘Felix von Weingartner, qui avait dirigé de belles exécutions de Berlioz, et le regretté Charles Malherbe, qui possédait non seulement une collection précieuse de manuscrits de Berlioz (qui se trouve maintenant à la bibliothèque du Conservatoire), mais s’était aussi signalé par des analyses méritoires dans des programmes de concerts. Il fait peu de doute que c’est le premier qui a mené le jeu, alors que M. Malherbe était trop aimable et complaisant pour tenir tête à l’arrogance teutone’ (p. 651). L’article abonde en déclarations de ce genre. ‘Pour ce qui est de l’interprétation des œuvres de Berlioz, je ferais plutôt confiance au jugement d’un chef d’orchestre français qu’à celui de n’importe quel Allemand’ (p. 653). ‘Le simple but de Weingartner, de prouver qu’il est un rédacteur allemand, alors que Berlioz n’est qu’un misérable compositeur étranger, est réalisé en réduisant les bassons à deux, sauf quand ils sont écrits à quatre parties réelles’ (ib.). ‘On aurait du mal à appeler les compositeurs français modernes ‘démodés’, quoi que fassent les Allemands. S’il faut modifier Berlioz (et il n’y en a nul besoin !), qu’on le modifie au moins suivant des idées françaises modernes’ (p. 655). Dans ses publications ultérieures Wotton baisse le ton de ses critiques et déplace la responsabilité de l’édition de Weingartner à Malherbe, mais il continue à parler de l’édition Breitkopf comme ‘l’édition allemande’. Dans son livre de 1929 il souligne à plusieurs reprises les défauts de l’édition (notamment pp. 15-16, 24, 41 n. 1, 49), et à propos de l’ouverture de Benvenuto Cellini il observe que si elle diffère ‘dans sa forme et son développement des modèles teutons, eh bien ! c’est parce qu’il se trouvait que le compositeur était né dans le sud de la France’ (p. 39). Dans son livre de 1935 Wotton consacre une grande partie du chapitre 8 (Interprétations et Éditions) à un examen critique de l’édition Breitkopf, et il bénéficie maintenant de la publication complète en 1930 (par Julien Tiersot dans la Rivista Musicale Italiana) d’une lettre de Balakirev à Charles Malherbe de janvier 1900, dans laquelle le compositeur russe, qui avait connu Berlioz, supplie son correspondant de ne pas toucher aux indications précises du compositeur (cf. pp. 182-4). Ses conseils ne furent pas suivis. À partir de 1930 Wotton s’adjoint Jacques Barzun comme collaborateur; on trouvera une liste détaillée de ses corrections à l’édition Breitkopf dans le Supplément 5 du livre de Barzun (tome II, pp. 336-58, Errors in the “Complete” Edition of the Scores [pp. 358-81 de la 3e éd.]), où Barzun souligne que la majeure partie de ce travail était dûe à Wotton.
‘On hésite à croire que nous aurons jamais une édition fidèle des œuvres [de Berlioz]. Si elle se réalise un jour, il faut espérer qu’elle sera confiée à des hommes qui savent ce qu’est le travail d’un rédacteur, qui comprennent tout à fait la musique de Berlioz, et qui ont étudié ses œuvres.’ Ainsi s’exprime Wotton en 1935 (p. 191), et tout ce qu’il peut espérer à ce moment est la publication de la grande partition de Benvenuto Cellini et des Troyens (qui n’eut pas lieu). Il ne pouvait prévoir que le bicentenaire de la naissance de Berlioz allait amener finalement la publication complète de ses œuvres musicales dans la New Berlioz Edition, publiée entre 1967 et 2006, et comprenant Benvenuto Cellini et Les Troyens. On pourrait avancer qu’une part du mérite de cette réalisation revient, indirectement et à titre posthume, aux travaux de Wotton sur Berlioz.
Cette liste ne prétend pas être exhaustive; elle est fondée en grande partie sur les amples bibliographies dans le tome II de l’ouvrage de Jacques Barzun sur Berlioz, pp. 377-50 [pp. 383-458 de la 3e éd.], et concerne en premier lieu ses publications sur Berlioz. Voir aussi les remarques sur Wotton de Michael Wright dans son article de 1969 qui est reproduit sur ce site. Les titres sont disposés en ordre chronologique.
— Correspondsnce dans Musical Opinion, février, avril et mai 1902 [concerne le chapitre sur les timbales dans le Grand traité d’instrumentation]
— “Le Centenaire d’Hector Berlioz” et “The Centenary of Hector Berlioz”, dans le Livre d’Or du centenaire de Berlioz (1903, publié en 1906) pp. 212-13 [traduction française, sans doute pas de la plume de Wotton lui-même] et pp. 214-15 [version anglaise originale]
— “Hector Berlioz”, Proceedings of the Musical Association, Treiziène Séance, 8 décembre, 1903, pp. 15-36
— “Einige missverständnisse betreffs Berlioz”, Die Musik, décembre 1903, pp. 358-63 (Traduction allemande d’une communication faite aux célébrations du centenaire à Grenoble en août 1903)
— “Stray Notes on Berlioz”, Zeitschrift der Internationalen Musik Gesellschaft, 5ème année, Leipzig 1903-1904, pp. 395-9
— Présentation du Catalogue anglais de l’édition du centenaire publiée par Breitkopf und Härtel, Londres, 1904 [Version anglaise du même article paru en allemand dans les Mitteilungen von Breitkopf und Härtel in Leipzig, No. 73, mars 1903, pp. 1814-18]
— “The Future of the Orchestra”, Musical News, 29 juillet, 1905
— A Dictionary of Foreign Musical Terms and Handbook of Orchestral Instuments, Leipzig 1907
— “The Scores of Berlioz and Some Modern Editing”, Musical Times, 1er novembre, 1915, pp. 651-6
— “A Berlioz Caprice and its ‘Programme’ ”, Musical Times, 1er août, 1927, pp. 704-6
— “Orchestral Balance”, Musical Times, février et mars 1929, pp. 115-18 et 225-7
— ‘A Berlioz Conference’, Musical Times 1 April 1929, pp. 318-20
— Berlioz: Four Works (Musical Pilgrim Series), Londres 1929 [Symphonie fantastique, Ouverture de Benvenuto Cellini, La Captive, Le Corsaire]
— “Berlioz as Melodist”, Musical Times, 1er septembre, 1929, pp. 808-12
— “Berlioz the Blood-Curdler”, Musical Mirror, novembre 1930, p. 319
— “Hector Berlioz, 1803-1869”, dans The Heritage of Music, tome II, ed. Hubert J. Foss, Londres 1934 [Esquisse biographique]
— Hector Berlioz, Oxford et Londres, 1935
— “Berlioz’ Funeral and Triumphal Symphony”, Musical Opinion, juillet 1936, pp. 841-2
— “‘Infernal Language’: a Berlioz Hoax”, Musical Times, mars 1937, pp. 209-10
— “An Unknown Score of Berlioz”, Music Review, novembre 1943, pp. 224-8 [article posthume rassemblant des notes manuscrites dans un exemplaire de la partition incomplète de la cantate Sardanapale]
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