FEUILLETON DU JOURNAL DES DÉBATS
DU 14 MAI 1863 [p. 1-2].
THÉATRE-LYRIQUE.
SA SUBVENTION.
Reprise d’Obéron, de Weber. — Première
représentation des Fiancés de Rosa, musique de Mme de
Valgrand, paroles de M. Choler, et du Jardinier et son Seigneur, paroles
de M. Théophile Barrière, musique de M. Léo Delibes.
Le Théâtre-Lyrique est enfin assuré d’obtenir une subvention, et le public musical de Paris tout entier félicitera M. le ministre d’Etat le jour où cette mesure si juste et si utile aura été adoptée. Seulement il ne faut pas une subvention dérisoire ; il ne faut pas que le Théâtre-Lyrique soit seulement admis à partager avec le Cirque les 100,000 fr. qui vont être retirés au Théâtre-Italien. La somme entière ne sera qu’à peine suffisante pour aider à l’existence d’un théâtre consacré au plus dispendieux des arts, d’un théâtre qui d’ailleurs admet tous les genres, reproduit de son mieux les œuvres des étrangers et des Français, des morts et des vivans, des grands et des petits, des hommes et des femmes, qui seul donne un peu de vie et de mouvement à la musique dramatique de Paris. N’oublions pas que sans le Théâtre-Lyrique la génération actuelle ne connaîtrait ni Orphée, ni Obéron, ni Preciosa, ni Fidelio, ni l’Enlèvement, et qu’ainsi des chefs-d’œuvre de Glück, de Weber, de Beethoven et de Mozart seraient restés lettres closes pour elle. Le Faust de M. Gounod non plus n’eût pas paru ; le théâtre de l’Opéra l’eût trouvé trop petit, et celui de l’Opéra-Comique l’eût jugé trop grand. Le Théâtre-Lyrique, en un mot, fait de l’art. Il y a bien près de dix-huit mois qu’on n’a pas mis en scène un grand ouvrage nouveau à l’Opéra ; les étrangers et les provinciaux se pressent néanmoins à presque toutes ses représentations. Il suffit qu’on y joue la Muette et Guillaume Tell pour que la salle soit pleine. Dix mille francs de recette ! que voulez-vous de plus ? Tout n’est-il pas pour le mieux dans le meilleur des théâtres possibles ? Il y a un an, le fond du répertoire était différent ; il se composait de deux autres pièces, la Favorite et Lucie.
Un marin, capitaine au long cours, disait un jour à ce sujet : « Toutes les fois que je quitte Paris pour aller faire le tour du monde, je vois affichée la Favorite, et toutes les fois que je reviens je trouve affichée Lucie. » Ce à quoi un de ses confrères répondit : « Allons, vous exagérez ; on ne joue pas Lucie aussi souvent. Quand je pars pour les Indes, je vois, il est vrai, affichée la Favorite ; mais quand j’en reviens, on ne joue pas toujours Lucie ; on donne quelquefois encore la Favorite. »
Aujourd’hui les navigateurs peuvent partir pour la Tasmanie un jour où l’on annoncera Guillaume Tell, bien assurés qu’à leur retour on donnera la Muette, à moins qu’on ne joue encore Guillaume Tell.
Aussi arrive-t-il aux choristes, que cette impitoyable monotonie du répertoire abrutit, de faire de singulières erreurs. Dernièrement, une cacophonie terrible s’étant produite sur la scène, on fut quelque temps avant d’en découvrir la cause ; les artistes du chœur n’ayant pas regardé l’affiche, les uns avaient entonné de confiance le morceau « Au marché qui vient de s’ouvrir », de la Muette, pendant que les autres chantaient « Quel jour serein », de Guillaume Tell, et l’on jouait par hasard deux actes de Lucie. Quant à l’Opéra-Comique, c’est le théâtre de la Dame blanche ; son ténor Achard est le ténor de la Dame blanche ; son public est un public ravi de la Dame blanche, qu’il connaît depuis peu, et qui ne peut se lasser d’entendre la Dame blanche ; si le directeur s’avisait de suspendre les représentations de la Dame blanche, quelque démon viendrait la nuit le tirer par les pieds et lui dire : « Affiche encore la Dame blanche, va toujours, toujours, toujours ! demande à ton caissier où il en est avec les recettes de la Dame blanche. » Et le caissier répondrait encore, comme dans la Dame blanche : « A cinq cent mille francs. » Donc on n’a pas le droit de dire au directeur du théâtre de la Dame blanche : « Pourquoi jouez-vous toujours la Dame blanche ? » car celui-ci ne manquerait pas de répondre : « Je joue toujours la Dame blanche, parce qu’il y a un public qui paie toujours pour voir la Dame blanche ; si l’on ne payait pas toujours pour voir la Dame blanche, je ne jouerais pas toujours la Dame blanche ; et je jouerai toujours la Dame blanche, tant qu’on fera de l’argent avec la Dame blanche. »
Il a raison, et je crains fort que les gens lassés de la Dame blanche n’aient tort.
M. Carvalho, qui dirige le Théâtre-Lyrique, cherche au contraire à varier le plus possible son répertoire. Il vient de donner deux pièces nouvelles et une reprise importante en quatre jours. Tout cela cependant a été mis en scène avec soin. Le public, qui ne venait pas par le chemin de fer du département des Landes, ou du Finistère, ou des Hautes-Alpes, mais de Paris tout simplement, a revu avec un plaisir extrême cette fraîche et verdoyante partition d’Obéron, dont il était privé depuis quelques années. Le difficile, pour réorganiser l’exécution du chef-d’œuvre, était de trouver une Rezia. M. Carvalho l’a découverte dans un de ces théâtres que l’on ne peut nommer, dans un de ces lieux où l’on parodie les poëtes et la poésie. Il faut bien avoir le génie de la pêche pour oser jeter la ligne en un pareil étang. Tant il y a qu’il y a pêché Mme Ugalde, une très habile cantatrice, qui chante tout ce qu’on veut, le pour, le contre, le beau, le laid, le sublime, le grotesque, le fin, le plat ; et tout cela avec verve, avec un talent incontestable, et la voix qu’elle a. Tant d’autres chantent avec la voix qu’elles n’ont plus ! Ah ! si elle pouvait changer sa voix, je crois qu’elle en serait fort aise ! Et nous donc ! Mme Ugalde a dit tout ce rôle difficile de Rezia mieux que n’ont fait ses devancières au Théâtre-Lyrique. Elle a seulement manqué d’haleine au milieu du grand air « Océan » ! (Exclamation que les traducteurs ont traduite par : grands dieux !). Elle n’a pu suivre le mouvement de l’orchestre, qui a dû la laisser en arrière pour les trois appels : Huon ! Huon ! Huon ! Mme Ugalde fait aussi (volontairement cette fois) un petit rallentando dans la phrase si élancée, si éperdue, de la péroraison de ce même air. On sait ce que je pense de ces libertés, de ces perfectionnemens ajoutés à l’œuvre des grands maîtres…. Je dois dire seulement que la faute de Mme Ugalde n’est pas là aussi énorme que l’on m’avait dit, c’est à peine si l’on pourrait l’appeler crime.
Monjauze chante avec expression et sans embarras les passages même les plus dangereux du rôle de Huon ; il pourrait dans son grand air seulement l’animer un peu davantage. Mlle Girard est toujours l’excellente Fatime si remarquée et si applaudie lors de la première mise en scène d’Obéron au Théâtre-Lyrique ; sa voix est nette, vibrante, naturelle ; elle chante avec intelligence, bon sens et bon goût ce qu’il y a dans son rôle, et rien autre. Elle tâche de se faire honneur en honorant, respectant, et reproduisant fidèlement l’œuvre des maîtres ; aussi beaucoup de gens, dont le jugement a du poids, lui rendent-ils hautement justice et en sont-ils à regretter aujourd’hui que cette jeune artiste veuille quitter, on ne sait pourquoi, le théâtre de ses premiers succès. Son rondeau du troisième acte a été redemandé avec acclamation. Le duo suivant entre Fatime et son ami Osmin, une merveille de fine mélodie, d’instrumentation et d’originalité, a produit aussi un charmant effet. L’orchestre et le chœur méritent des éloges. La jeune personne chargée de représenter Puck, l’esprit favori d’Obéron, possède une voix qui n’est pas sans charme ; elle est d’ailleurs gracieuse de sa personne et fort bien faite, qualité essentielle pour paraître sous un tel costume. Elle a bien chanté, sur l’avant-scène, les ravissantes strophes des naïades, qu’on a eu l’idée bizarre de donner à Puck, au lieu de les faire exécuter au loin sur la mer par deux soprani, ainsi que Weber l’a voulu.
La danse involontaire du bey de Tunis, de sa cour et de ses eunuques, au dénoûment, a provoqué, comme à l’ordinaire, le rire fou de toute la salle.
Ceci est un petit opéra-comique français, en un acte seulement. Il y est question de la fille d’un armurier, condamnée par son père à épouser le plus habile des ouvriers qui forgent dans son atelier. Ils sont trois : Nigel, Gordic et Georges. Nigel est aimé de Rosa ; Georges est un jeune débauché de grande maison qui, pour séduire Rosa, a imaginé de se faire apprenti armurier et de s’introduire sous ce titre dans l’atelier de maître Smith. Mais il a une cousine à qui il est fiancé. Celle-ci, l’ayant suivi, a découvert ses perfides intentions, et aussitôt la jeune Anglaise, de très bonne maison, elle aussi, de se présenter en costume d’ouvrier et sous le même prétexte chez le père Smith. Elle veut surveiller les allures de son perfide amant, et le tablier de cuir qu’elle porte la défigure tellement, que celui-ci ne la reconnaît pas. Le concours est ouvert pour la main de Rosa, Nigel forge une excellente épée ; ses deux rivaux, qui ne savent pas manier le marteau, l’ont payé pour faire leur besogne. Il n’a garde de manquer une si belle occasion de les perdre dans l’esprit du maître, et leur fabrique à chacun une arme grossière qui se romprait à la première épreuve. Smith se voit donc forcé de donner sa fille à Nigel. Mais il apprend que Georges est riche ; aussitôt il découvre que l’épée de Georges est un chef-d’œuvre qu’il avait mal jugé. Georges épousera Rosa. Mais voici venir de nombreux créanciers de Georges ; on va l’arrêter pour dettes. Smith se dit alors : « Pas d’un gendre pareil ! Tous les gendres sont bons, hors le gendre endetté. Si je donnais Rosa au petit Gordic, qui a bien bonne mine ! » Or voilà que Gordic ne veut pas épouser Rosa ; au contraire, il va à la prison pour dettes, paie pour Georges, quitte son tablier de cuir, se fait reconnaître de son cousin, qui, attendri par tant de dévouement, épouse sa cousine Fanny, et Rosa enfin épouse son Nigel, sans trop de colère de la part de Smith, qui reconnaît en Nigel un véritable armurier. Il lui avait d’ailleurs dès longtemps promis sa fille, et le père Smith n’a qu’une parole.
La musique des Fiancés de Rosa est d’une dame dont le talent d’amateur est depuis longtemps connu et reconnu. Mme de Valgrand a, sous un autre nom, fait exécuter dans divers concerts des compositions que le public a accueillies avec une faveur réelle. Son nouvel opéra est bien écrit, sans tâtonnemens, d’un style ferme en général et toujours de bon goût. L’ouverture est jolie, bien écrite, et les développemens n’en sont point excessifs. Il faut citer un bon quatuor :
Allons, voici l’instant suprême,
pendant lequel, sous les yeux de Smith, les trois rivaux forgent leurs épées ; un air : « Adieu donc, adieu », fort bien chanté par Mlle Faivre ; une valse syllabique originale, et un chœur avec solo de soprano qui a produit de l’effet.
Un bonhomme autrefois nommé Jean La Fontaine écrivit, mais non sans peine, des fables, des moralités cachant de grandes vérités. Ses vers adorables, charmans sont donnés aux petits enfans afin d’exercer leur mémoire. Les enfans n’y voient que grimoire, la plupart n’y comprennent rien, ce qui prouve, à mon sens, fort bien que les auteurs de cet usage n’y comprennent pas davantage.
Pardon, je viens de relire cinq ou six de ces délicieux petits poëmes, et cela m’a fait un instant apologuer sans m’en apercevoir. Ah ! c’est qu’on se laisse si volontiers bercer par cette souriante et malicieuse poésie ! Et pourtant, si nous l’admirons, ce n’est pas avec une passion aveugle, et il nous serait aisé de prouver que nous voyons fort clairement les défaillances du poëte. Par exemple, croyez-vous que nous admirions beaucoup ceci :
Ane, cheval et mule aux forêts habitait.
C’est l’acheter trop cher que l’acheter d’un bien
Sans qui les autres ne sont rien.Ce n’est pas vous, c’est l’idole
A qui cet honneur se rend
Et que la gloire en est due.Aurions-nous bien le cœur et les mains assez pures
Pour présider ici sur les honneurs divins ?
Mais ce sont là seulement des fautes grammaticales, les premiers vers de la métamorphose intitulée Philémon et Baucis semblent contenir au contraire un véritable galimatias.
Ni l’or ni la grandeur ne nous rendent heureux,
Ces deux DIVINITÉS n’accordent à nos vœux
Que des biens peu certains, qu’un plaisir peu tranquille :
Des soucis dévorans c’est l’éternel ASILE ;
Véritables VAUTOURS, que le fils de Japet
Représente enchaîné sur son triste sommet.
L’humble toit est exempt d’un TRIBUT si funeste.
Ainsi l’or et la grandeur sont tout à la fois des divinités, un asile, des vautours, que le fils de Japet représente, et un tribut. Mais tout le reste du poëme est si beau, si clair, si harmonieux, d’un si pur et si doux coloris !
La Fontaine, le distrait, n’a jamais d’ailleurs, dans ses momens d’oubli, écrit des choses comparables aux distractions que l’on trouve dans plusieurs écrivains modernes d’un talent pourtant fort recommandable :
« Duroc observa à l’Empereur…
» Je ne m’enrhume jamais et tu l’es déjà.
» Tarquinio, ainsi nommé parce qu’il donna naissance et baptisa de son nom le premier des Tarquins.
» — L’accouchement fut pénible ; en revenant à elle, la pauvre mère vit à son côté une jolie petite tête blonde qui lui tendait les bras en souriant.
» — Et de toutes les fleurs qui parent votre tête, la plus belle c’est votre cœur. »
Parlez-moi de Shakspeare, qui se tire si plaisamment d’embarras quand Menenius raconte son apologue dans Coriolan.
« — L’estomac, se prenant à sourire… Puisque je fais parler l’estomac, je puis bien le faire sourire. »
Je reviens au petit opéra du Théâtre-Lyrique, le Jardinier et son seigneur. Cet acte jovial n’est autre, cela se devine, que la fable de La Fontaine dramatisée. (Ah ! mon Dieu ! peut-on dire dramatisée ? après avoir osé trouver tant de fautes dans les maîtres de la langue, comment oser parler ? Je vais trembler maintenant en écrivant oui ou non. Ma foi, tant pis, je vous ferai observer d’ailleurs qu’après tout ce n’est pas mon état de bien écrire.)
Dans le nouvel opéra, comme dans la fable de La Fontaine, c’est donc un lièvre qui joue le rôle principal. Ce lièvre est gîté sous un maître chou, d’où il sort la nuit pour aller brouter dans le jardin où ce chou étale sa corpulence. Le jardinier, las de lui tendre vainement toutes sortes de pièges, va trouver son seigneur, un maître ès vénerie, et le supplie de venir le délivrer du maudit animal. Le seigneur et ses gens arrivent :
Chiens, chevaux et valets, tous gens bien endentés :
Il commande chez l’hôte, y prend des libertés,
Boit son vin, caresse sa fille.
Enfin le lièvre est lancé mais aussi le jardin saccagé, car les chiens et les gens
Firent plus de dégât en une heure de temps
Que n’en auraient fait en cent ans
Tous les lièvres de la province.
Il y a beaucoup d’entrain et de naturel dans la partition de M. Delibes ; on y remarque dans la première partie de jolis couplets fort bien dits et avec grand succès par Mlle Faivre, un quatuor très gai et plein de chaleur, un joli duettino à trois temps, un chœur de piqueurs très bien fait, et un morceau d’ensemble, celui du rendez-vous nocturne, conduit et dessiné avec art. L’air du seigneur manque un peu de distinction. Ce petit opéra a réussi ; il variera très agréablement le répertoire.
Orgues d’Alexandre. Leur introduction dans toutes les communes de France.
Le nombre toujours croissant des Sociétés orphéoniques atteste les efforts que font nos provinces pour prendre part à la civilisation musicale. Néanmoins ces Sociétés de chanteurs ne se forment guère que dans des centres de population d’une certaine importance ; l’immense majorité des bourgs, villages et hameaux ne possèdent ni école de chant, ni instrumens de musique, ni rien qui puisse aider les habitans à sortir de la barbarie. Ceux qui auraient des velléités musicales ne sont pas assez riches pour acheter le moins dispendieux des orgues à anche libre, instrument si commode et si propre à soutenir le chant pendant l’office divin, comme à développer par le charme de l’harmonie la sensibilité des oreilles incultes.
M. le ministre de l’instruction publique et des cultes vient d’accueillir très favorablement l’offre qui lui a été faite par MM. Alexandre père et fils. Ces habiles facteurs se chargeraient de fournir, au prix de 250 fr., à toutes les communes de France, des instrumens pouvant tout à la fois servir à l’enseignement du chant dans l’école primaire et à la pompe du culte dans l’église.
A cet effet, MM. Alexandre ont imaginé une combinaison financière à l’aide de laquelle chaque commune deviendrait propriétaire de son orgue moyennant 7 fr. 50 c. tous les six mois, c’est-à-dire pour une somme inférieure au prix de location mensuelle de cet instrument ; laquelle somme de 15 fr. par an serait payée pendant un nombre d’années qui varierait de deux au moins à quarante-cinq au plus, selon la sortie de l’obligation que posséderait la commune.
Une circulaire a été adressée à ce sujet à tous les préfets, dans laquelle M. le ministre les avertit qu’il verrait avec plaisir le succès d’une entreprise qui aurait évidemment pour l’enseignement du chant un résultat avantageux. M. le ministre invite en outre MM. les préfets à donner leur assentiment aux arrangemens que les communes se proposeraient de faire dans cette intention avec la maison Alexandre, « les orgues de cette maison étant d’ailleurs excellentes et leur bonne qualité ayant été reconnue par les juges compétens dans toutes les Expositions publiques. »
Je dois ajouter que le mode de paiement imaginé par MM. Alexandre pour des orgues même d’un grand prix est admis pour les particuliers, qui pourront ainsi très facilement acquérir un bel instrument et même rentrer dans leurs fonds au moyen de l’obligation warrant.
Tout ce qui se rattache à cette question a été d’ailleurs étudié avec le soin le plus scrupuleux par une commission spéciale, nommée par le ministre. Les conséquences de ce fait pour la popularisation de la musique en France sont incalculables.
HECTOR BERLIOZ.
Site Hector Berlioz créé le 18 juillet 1997 par Michel Austin et Monir Tayeb; page Hector Berlioz: Feuilletons créée le 1er mars 2009; cette page ajoutée le 1er mai 2009.
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