FEUILLETON DU JOURNAL DES DÉBATS
DU 7 MAI 1857 [p. 1-2].
THÉATRE DE L’OPÉRA.
Début de Mlle de La Pommeraie
dans la Reine de Chypre.
Les impressions produites sur le public par les chanteurs débutans, à l’Opéra, varient non seulement avec les qualités diverses qu’ils manifestent, mais encore avec les conditions particulières dans lesquelles ils se trouvent placés en se présentant sur cette vaste scène. Il y a deux espèces principales de débutans : les débutans officiels et les débutans officieux.
Parmi les débutans qui furent officiels et qui sont sortis des classes du conservatoire, nous pourrions citer un assez bon nombre d’artistes remarquables, tels que Roger, Levasseur, Mlle Falcon et beaucoup d’autres. Ceux-là, malgré les leçons de toutes sortes qu’ils ont subies, se sont rapidement développés à la sortie des classes ; ils étaient d’une nature incompressible. On a eu beau leur dire pendant plusieurs années : « Voilà comment on émet la voix, comment on respire, voici les points d’intersection de la phrase, ici vous pouvez ajouter un temps à la mesure, là il faut supprimer l’élision et faire un hiatus, ce petit gruppetto serait d’un bon effet sur cet accent expressif ; imitez-moi ; faites à l’octave supérieure cette note basse trop sourde pour votre voix ; substituez un sol aigu à ce mi bémol, puisque vous le pouvez sans peine, c’est plus éclatant ; étudiez-moi ce point d’orgue et placez-le à la fin de votre morceau, je l’ai composé pour vous ; il faut rajeunir un peu la musique des maîtres ; ne vous préoccupez pas trop du rhythme ni de la mesure, les chefs d’orchestre sont faits pour vous suivre et pour vous attendre ; martelez vigoureusement un trille sur ce mot âme, la voyelle a vous y invite ; poussez la voix sur ce je t’aime, de manière à produire un tremblement du son, une sorte de chevrotement qui exprime la passion ; voici comment on se sert du bras droit ; voilà de quelle manière il faut avancer la jambe gauche ; c’est ainsi qu’on entre en scène ; on en sort de cette façon. Après votre solo, faites quatre pas à gauche, si vous êtes sur le côté droit du théâtre, ou quatre pas à droite si vous êtes à gauche, en passant devant votre interlocuteur. — Pourquoi ce mouvement ? — C’est l’usage, c’est consacré. — Mais, Monsieur… — Ah ! si vous raisonnez, vous ne ferez jamais rien. Et surtout n’allez pas vous abîmer la voix à solfier, ni vous éteindre l’imagination dans l’étude de la musique ; un virtuose chanteur n’a pas même besoin de la savoir lire ; c’est bon pour les choristes. » Oui, malgré cet admirable enseignement, fort en honneur autrefois, plusieurs débutans officiels sont devenus rapidement de grands artistes musiciens, chanteurs, acteurs. Quelques uns d’entre eux exercent même aujourd’hui avec honneur le professorat. Ils se vengent….
D’autres, et c’est l’immense majorité, ont disparu dans les limbes théâtrales de la province ou sont devenus marchands de vin, demoiselles de compagnie en Pologne, chanteurs ou chanteuses de la chapelle de l’un des sept châteaux du roi de Bohême. Mais tous ont été également encouragés et soutenus par l’administration à leur premier début ; ils ont obtenu le nombre nécessaire de répétitions ; ils ont pu s’entendre avec le chef d’orchestre, avec le chef de claque, avec le chef du chant ; on leur a confectionné des costumes neufs.
Le premier début d’un artiste officiel est toujours plus ou moins une fête de famille. Les ouvreuses de loges, ces soirs-là, ont en général l’air doux et affable, leur sourire semble implorer la bienveillance des abonnés ; elles s’intéressent au débutant ou à la débutante, c’est un enfant de la maison ; les maîtres de chant, de déclamation lyrique, de prononciation, gantés et cravatés de blanc, et suivis de l’instructeur du bras droit et du guide de la jambe gauche, promènent leur paternelle émotion du foyer à l’orchestre et de l’orchestre au foyer longtemps avant que le gaz soit allumé. David compte autour de lui dans le parterre vingt hommes de plus qu’à l’ordinaire, ou quarante, ou cent, selon le degré d’importance du début. Tous les tigres de la presse font patte de velours ; les agneaux sont prêts à bêler un dithyrambe. Si le débutant, avec de pareilles chances, fait alors ce qu’on appelle un four, s’il ne montre ni dons naturels, ni dons acquis, ni voix, ni vocalisation, ni intelligence, ni chaleur d’âme :
La faute en est aux dieux qui le firent si bête,
et personne n’a rien à se reprocher.
Les débutans officieux sont au contraire de malheureux fruits secs du Conservatoire de Toulouse, ou de Lille, ou de Marseille, ou même de Paris. Ils ont pour l’ordinaire une voix d’enfer, un style de l’autre monde, mais une mémoire meublée comme le salon d’un commissaire priseur. Ils savent tout le répertoire, ils sont prêts à tout chanter au pied levé. Plus patiens que ces joueurs qui piquent leur carte au coin d’une table de roulette, ils attendent le jour où le théâtre de l’Opéra se verra sur le point de faire relâche, faute d’un artiste capable de remplir un rôle important dans la seule pièce que l’on puisse jouer. Ce jour arrive ; tel ou telle est malade, le répertoire est accroché. Le débutant officieux accourt, se propose, on l’accepte avec empressement. Pas de répétition pour lui, il est trop tard ; pas de costumes, il endossera le premier venu ; pas d’entrevue avec David ; pas d’hommes de renfort ; pas de tigres, pas d’agneaux, la presse est absente ; les ouvreuses de loges n’apportent pas délicatement leurs petits bancs au bout de leurs doigts gantés de filoselle, elles les poussent brutalement du pied. Les professeurs officiels de chant, de déclamation, de prononciation, de bras droit et de jambe gauche, arrivent tard ; ils arrivent cependant, mais pour déchirer d’avance à belles dents le pauvre débutant : — « Il n’a jamais su poser un son… — Il entre en scène du pied droit… — Je l’ai vu à Rouen dans Lucie… — Et moi à Rennes dans Robert… — Il était d’un mauvais… d’un gauche… — Il a du bon pourtant, dit le chef d’orchestre qui écoute ces messieurs ; on dit qu’il chante vite ; l’opéra sera plus tôt fini. »
Enfin la représentation commence, le débutant à son entrée est accueilli par un silence formidable qui paralyserait une organisation moins robuste que la sienne. Il chante très passablement néanmoins, il a même un moment de sensibilité réelle et bien exprimée dans la scène principale. Un connaisseur qui se trouve par hasard à l’Opéra ce soir-là s’écrie : « Quel est ce ténor ? d’où sort-il ? » et seul l’applaudit chaleureusement sans y être obligé. David, du centre du parterre, examine le monsieur avec son télescope ; les voisins de l’applaudisseur se parlent à l’oreille en le regardant. Il comprend alors sa faute et s’éloigne en murmurant : « C’est un officieux ! pauvre diable ! » Le pauvre diable en effet sort de la scène comme il y était entré ; un silence solennel le suit dans la coulisse, silence du désert, silence du sommet des Alpes. Il rentre dans la soupente où on lui a permis de s’habiller ; personne ne l’y a devancé, personne ne l’y suit pour le féliciter ; pas une main amie ne vient serrer la sienne. Il quitte son costume, un peu inquiet d’en avoir fait craquer les coutures. « On ne m’a pas rappelé seulement une fois, se dit-il, mais c’est une tactique du directeur pour n’être pas obligé de me payer trop cher. Il est capable de venir demain m’offrir une quarantaine de mille francs par an et trois mois de congé. Tenons-nous bien. » Le lendemain le ténor ne voit rien venir. Le surlendemain pas davantage. Inquiet le troisième jour, il va se montrer dans la cour de l’Opéra ; un cercle nombreux y jase gaîment autour du ténor administratif dont le rétablissement est complet ; personne n’adresse la parole au nouveau venu. Celui-ci, plus inquiet que jamais, va frapper à la porte du directeur ; M. le directeur est parti pour l’Italie…… mais en sortant il rencontre le tailleur qui lui réclame vingt francs pour frais de costume.
Ceci est encore de l’histoire ancienne, très ancienne. M. le directeur actuel est un gentleman, et d’ailleurs ses chanteurs ne sont jamais malades.
Mlle de La Pommeraie, ai-je besoin de le dire ? appartient à la classe des débutantes officielles. Elle possède une belle voix de mezzo soprano, une taille élégante et élancée ; sa physionomie est expressive. Son succès n’a pas été douteux un seul instant. A part quelques notes trop graves pour elle, le rôle de Catarina lui convient sous tous les rapports. Elle s’y est montrée cantatrice éminemment dramatique ; et dans les scènes principales, dans celle du second acte où elle se voit contrainte de dire à Gérard qu’elle ne l’aime plus, Mlle de La Pommeraie a su rappeler quelques uns des beaux élans de Mme Stoltz. Roger et Bonnehée ont héroïquement chanté leur duo « Triste exilé », le morceau capital de la partition, et l’une des plus belles choses qu’ait écrites M. Halévy.
Reprise de Joconde, opéra-comique en trois actes d’Etienne, musique de Nicolo.
Nous n’avions pas revu cet ouvrage à Paris depuis dix ou onze ans. Il devait plaire encore aujourd’hui et il a plu à beaucoup de gens. D’autres au contraire ont trouvé son style musical un peu terne, ses ornemens fanés, l’esprit de son dialogue fort obtus, la tendance continuelle des situations à l’égrillardise d’assez mauvais goût. En somme pourtant, cette reprise a été bien accueillie.
Quant à moi, tout en exécrant le dialogue semé de vieilles gravelures, j’ai entendu, je l’avoue, plusieurs morceaux de la partition avec un vif plaisir. Quelques uns de ces petits chants laconiques, mais toujours vrais d’expression, me paraissent délicieux et d’un sentiment exquis. Parmi ceux-là, je citerai tout d’abord la romance :
Dans un délire extrême,
On veut fuir ce qu’on aime,
qui me semble un chef-d’œuvre de grâce et de tendresse. Cela réveille dans l’âme les sublimes illusions des premières amours. L’accent de la mélodie est pénétrant. Si l’on veut bien pour un instant, pendant l’exécution de cette romance, oublier l’éternelle ironie parisienne, les mœurs parisiennes, le monde parisien, et se laisser caresser par cette brise de sentiment qui ose à peine exhaler son souffle, on ne peut manquer d’en être vivement ému. La musique des couplets de la rosière est également excellente ; la phrase :
Ma mère et le bailli sont bien,
Et je crois que j’aurai la rose,
est pleine de finesse et de vérité.
L’air célèbre : « J’ai longtemps parcouru le monde » commence par une phrase absolument semblable au thème du premier morceau de la symphonie en sol mineur de Mozart. Seulement Nicolo a reproduit ce thème dans le mode majeur.
L’harmonie de Nicolo est en général monotone, et son instrumentation un peu enfantine ; l’auteur semble manquer d’haleine dans les morceaux d’ensemble et avoir hâte d’en finir. C’est dans un final de Joconde que se trouve le passage
Pour combattre les infidèles,
qui rappelle si malheureusement celui de la Caravane du Caire :
Saint-Phar avec courage,
lequel rappelle plus malheureusement encore la célèbre chanson du roi Dagobert. De là la charge de quelques mauvais plaisans qui parcouraient l’autre soir les corridors de l’Opéra-Comique en chantant :
Pour combattre les infidèles…
Saint-Phar avec courage
A mis sa culotte à l’envers.
Mlle Lefebvre est tout à fait charmante dans le rôle de la petite rosière, et Faure chante celui de Joconde avec un véritable talent. N’est-il pas à craindre qu’il n’altère la beauté de sa voix en chantant des rôles écrits aussi haut et qui l’obligent aussi souvent à ténoriser ?
Jamais opéra-comique n’eut une vogue comparable à celle qui accueillit Joconde à son apparition ; jamais musique ne fut autant que sa musique appropriée au goût français de cette époque, jamais partition ne rapporta autant d’argent à son auteur. Et c’est justement ce qui lui fera tort maintenant. La musique de Joconde fut tant et si longtemps chantée par les innombrables illustres Gaudissarts qui parcouraient le monde avant l’invention des chemins de fer et qui le parcourent encore aujourd’hui, on a tant entendu flonflonner :
Quand on attend sa belle,
Que la tante est cruelle !
et
Dans un amoureux délire ;
et
Romanesque avec les Anglaises,
Sémillant avec les Françaises,
qu’on n’ose plus répéter ces refrains dans la crainte d’être pris pour un illustre Gaudissart. La France d’ailleurs croit avoir maintenant du goût pour la grande musique ; celle de Joconde ne peut donc plus être du goût de la France. Mais le fait est qu’il n’y en eut jamais de plus française, et qu’on l’adorerait aujourd’hui comme au temps des bottes à revers, sans les Gaudissarts.
Elle eut trop de succès ; c’est ce qui l’a tuée.
Un écrivain distingué, un homme qui fait et défait des réputations musicales, qui sait la musique à fond, qui fut chef d’orchestre dans un des théâtres de Paris, qui eut l’honneur d’être élève de Méhul, un homme qui composa des chansons plus flattées par la popularité que ne le furent les airs de Joconde, et qui écrivit néanmoins des monceaux d’exercices de contre-point, qui joua toute sa vie avec la fugue à trois sujets, M. Henri Blanchard, ne vient-il pas de publier, lui aussi, comme un simple amateur qui ne sait pas la musique, un recueil de mélodies !.. Celles-là au moins sont des mélodies mélodieuses, accompagnées de véritables harmonies. La plupart de ces morceaux, plus développés que ne sont ordinairement les romances, sont charmans. Je citerai d’abord la Légende de sainte Cécile, paroles de Mme Emile de Girardin, dont le chant est large et expressif ; un Bouquet à Marie, où la mesure à quatre temps et la mesure à trois alternent d’une façon si originale et si piquante ; une élégie adressée par Michel-Ange à Vittoria Colonna, paroles de M. Léon Halévy, morceau d’un grand caractère et noblement triste. Dans un moins haut style, il faut citer la Belle Bretonne, chanson armoricaine, Loin des yeux, loin du cœur, et même une autre chanson, Madame Gertrude, dont les paroles sont d’un terrible chansonnier, le dernier des hommes à qui on oserait donner ce titre, de Carnot le conventionnel, de Carnot le membre du Comité de Salut public. Voilà un de ces recueils que les amateurs achètent et qui prennent, sur les pianos élégans, la place des albums que leurs auteurs donnent pour rien.
Laissez-moi vous parler encore de deux concerts, de deux seulement, et je me tais. Il s’agit d’abord de celui de l’habile violoncelliste Franco-Mendès. Cette séance vraiment musicale a été fort brillante, et le bénéficiaire (car il y a eu bénéfice, chose incroyable !) y a fait entendre avec un beau succès plusieurs de ses œuvres nouvelles, parmi lesquelles on a surtout applaudi un quintette fort bien écrit pour deux violons, alto et deux violoncelles, un charmant adagio pour quatre violoncelles, et un lied, très bien chanté par Mme Gaveaux-Sabatier, intitulé Gondoline, dont les paroles sont de M. Jules Beer, neveu de M. Meyerbeer. Un monsieur s’étonnait de cette dernière circonstance… (qui n’avait pourtant pas été indiquée sur le programme). A son avis M. Meyerbeer ne pouvait, comme un simple homme, avoir des neveux… Je signalerai ensuite celui de Goria, le pianiste au jeu brillant et énergique, où Georges Hainl, le savant chef d’orchestre du grand théâtre de Lyon, est venu rappeler au public de Paris qu’il était toujours en outre l’un des plus habiles virtuoses de l’Europe sur le violoncelle. Georges Hainl a joué trois fois dans cette soirée, et toujours avec un succès de bon aloi. Les applaudissemens n’ont pas manqué non plus à la jeune cantatrice Mme Gambardi, dont la voix est d’une pureté et d’une étendue remarquables, ni au morceau du Cosi fan tutte de Mozart, ingénieusement arrangé par M. Gounod, pour piano, violon, violoncelle et orgue-Alexandre.
Je n’annoncerai pas ici le concert de Vivier, qui doit avoir lieu, dit-on, le 15 mai, tout simplement dans le salon d’Erard, ainsi que deux mille autres, parce que je ne crois pas à cette rumeur. Vivier est trop original pour tomber en des vulgarités de cette espèce. Cependant il faut aller rue du Mail, n°13, le 15 mai, à huit heures du soir ; on peut être tranquille, il y aura, en tous cas, un concert quelconque.
Tout bien considéré, je me ravise, et puisque je me sens en ardeur de louer, je rendrai justice à quelques séances musicales dont je n’ai point encore parlé. Je les rangerai par catégories rimées pour que les noms des bénéficiaires se gravent dans la mémoire du public plus aisément. Ce sont les soirées et matinées de messieurs et de mesdames :
(Le désir de poétiser sommairement le plus grand nombre de concerts possible nous a fait admettre dans cette ode des rimes un peu faibles ; on nous pardonnera en faveur de l’intention.)
1. | 7. | 14. |
Salabert. | Judith Lion. | Devançay. |
Zélina Vautier. | Chevalier Lelong. | Ida Boulée. |
Emile Albert. | De Cuvillon. | Clarisse Maré. |
Théodore Ritter. | Edouard Lion. | Ney. |
Pfeiffer. | Œuvre de la compassion. | Mey. |
Retterer. | Gaston. | |
Leclair. | Brisson | 15. |
Hammer. | Bergson. | Ropiquet. |
Féri Kletzer. | Gilette et Henon | Frères Lyonnet |
Lapret. | ||
2. | 8. | Couplet. |
Fontana. | Gaveaux Sabatier. | |
Mira. | Hypp. Vannier. | 16. |
Nicosia. | Gouffier | Lagnesse. |
Bellotta. | Henri Fournier. | H. Herz. |
Dancla. | Siévers. | Heps. |
Alex. Batta. | Rivière. | |
Gozora. | Lecorbeiller. | 17. |
Colas. | Dorville. | |
Braga. | 9. | Tardieu de Malleville |
Ciébra. | Marie Darjou. | |
Marie Delanoue. | 18. | |
3. | Rosalie Roux. | Devroy. |
Maurin et Chevillard. | Lebouc. | Dubois. |
Musard. | Pasdeloup. | |
Sophar. | 19 | |
Franchomme et Alard. | 10. | Lütgen. |
Armingaud et Jacquard. | Bussy | Andersen. |
Buonzollazzi. | Sérène. | |
4. | Martini. | Ferd. Lavaine. |
Bolle Lasalle. | Corinne de Luigi | |
Halle. | Comte Sirletti. | 20. |
Favilly. | Malézieux. | |
5. | Bartelloni | Léon Le Cieux. |
Durand. | Messagiere di Parigi. | |
Marie Graimann. | Sighicelli. | 21. |
Louise Mallmann. | Diomède Zompi. | Lefort. |
Karl Hermann. | Orphelinat d’Igny. | Levassor. |
Leblanc. | Pilati. | Salvator. |
Marchand. | Stamaty. | |
Herman. | Belloni. | 22. |
Saint-Saens. | Noms sans rime. | |
Nathan. | 12. | |
Labatut. | Œuvre des Saints-Anges. | |
6. | Delanux. | Chaudesaigues. |
Louise Contamin. | Hassenhut. | Concerts du Conservatoire. |
Louise Farrenc. | Deloigne. | |
Steinlein. | 13. | Marx. |
Rosenhain. | Grassot. | Deloffre. |
Pellegrin. | De Hartog. | Jacques. |
Norblin. | Giraud. | Mitchells. |
Gersheim. | Œuvre des faubourgs. | |
Rubinstein. | Sudre. | |
Paulin et David Félicien. | De Bariotte. | |
Sarrazin. | Alfred Lebeau. | |
Emma de Staucacs. |
Vous le voyez, ce n’est pas la bonne volonté, c’est la place qui me manque. Mon travail est impossible, et je n’ai que l’honneur de l’avoir entrepris.
H. BERLIOZ.
Note: La numérotation des listes à la fin de l’article passe dans l’original de 10 à 12, ce qui semble une erreur soit du typographe soit de Berlioz lui-même [Michel Austin]
Site Hector Berlioz créé le 18 juillet 1997 par Michel Austin et Monir Tayeb; page Hector Berlioz: Feuilletons créée le 1er mars 2009; cette page ajoutée le 1er février 2010.
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